Chère ma vrai mère, tu n’as pas à t’en faire, t’as bien fait de m’abandonner tu n’étais qu’une adolescente et je comprends ce que t’as vécu. Je veux pas que t’es peur de moi, y a pas de raisons. Je sais que t’as eu la vie dure. Moi elle à été assez douce, confortable tu vois, juste un peu glaciale mais ça… ça fait rien. Je t’imaginais très bien dans un petit sous-sol du centre ville à vendre ton cul pour bouffer… et j’ai décidé de communiquer avec toi pour qu’on aille prendre une bière. Ta fille affectueuse, Paulie. Ps : Ma fausse mère, jeanette, elle a toujours les main froide et en plus elle souris sans les yeux…