Film - Le maître de guerre

Avec ton faciès d’orang-outang t’es une pub vivante pour capote anglaise.

Je vais te défoncer ta petite gueule vu que si c’était autre chose ça te ferait trop plaisir.

Arrête de me foutre ton barreau de chaise de contrebande sous le nez avant que je t’en fasse un suppositoire que t’allumeras par les naseaux.

Je vais t’arracher le chou et te chier dans le cou.

Un coup de bite, un seul petit coup les loulous. Au delà ça débouche sur le plaisir et vraiment on est pas là pour ça.

Webster, si jamais Powers stoppe sans crier gare, tu vas te coincer la langue dans le trou de son cul.

- Avec le commandant Powers, nous formons une élite prête à partir en opération.
- Pour toi, je vois qu’une opération majeure : celle de tes grappes d’hémorroïde.

- Tu paieras le prix fort, poivrot, je fais pas de ristourne aux militaires de carrière.
- Dommage, ta bourgeoise en fait.

Fini la branlette, enfilez vos chaussettes.

Sa maman sait qu’il joue au Marines ?

Je suis pas venu ici pour qu’on se fasse des toutous sous la douche, tas de cons !

I’m gonna rip yer head off and shit down yer neck.

Toi tu m’dis qu’t’as d’la vertu, moi j’te dis qu’t’as un beau cul !

On improvise, on s’adapte, on domine.

Le Père la colique te prévient qu’il est un père la colique fatigué, qu’il a des indigestions de barbelés, des renvois de napalm et qu’il peut vider un chargeur dans le cul d’une mouche à 200 mètres.

Si Powers apprend ça il va te tailler la bite en copeaux et te faire des rillettes de couille !

La main dans la main d’accord… Mais faut pas croire que tout ça va se terminer par de folles nuits aux bains douches ! Compris ?