Où sont le cheval et le cavalier ? Où est le cor qui sonnait ? Ils sont passé comme la pluie sur les montagnes, comme un vent dans les prairies. Les jours sont descendus à l’ouest derrière les collines, dans l’ombre. Comment en est-on arrivé là ?
Debout, debout cavaliers de Théoden. Les lances seront secoués, les boucliers voleront en éclats. Une journée de l’épée. Une journée rouge avant que le soleil ne se lève. Au galop, au galop. Courrez, courrez à la ruine et à la fin du monde ! À mort ! À mort ! À mort ! Pour Eorlingas !
Aragorn : Venez avec moi. Venez à leur rencontre. Theoden : Pour la mort et la gloire. Aragorn : Pour le Rohan. Pour votre peuple. Gimli : Le soleil se lève. Gandalf : [Aragorn se souvient] Attendez ma venue aux première lueurs du cinquième jour, à l’aube regardez à l’Est. Theoden : Oui. Oui ! Le cor de Helm mes amis, va retentir dans le gouffre une dernière fois ! Gimli : Oui ! Theoden : Voici venue l’heure de tirer l’épée ensemble ! Cruauté réveille-toi ! Qu’importe le courroux, qu’importe la ruine et que l’aube soit rouge ! Pour Eorlingas !
Gandalf : La courtoisie de votre demeure a quelque peu diminué cet an-ci roi Theoden !! Grima Langue-de-Serpent : Il n’est pas le bienvenu !! Theoden : Pourquoi vous ferais-je bon accueil ? Gandalf corbeau de tempête. Grima Langue-de-Serpent : Question très pertinente mon suzerain.