Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1950

- Akhénaton, il doit mourir. Il a porté la main sur toi.
- Je sais. C’était pour me sauver.
- La loi ne fait pas de telles distinctions.
- Ai-je le pouvoir de changer la loi ?
- Il n’y a pas de limite à la puissance du pharaon.
- La loi est changée.

#81
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Elle s’appelait Mérit. Elle était serveuse dans une taverne et elle ne savait ni lire ni écrire. Elle m’a aimé toute sa vie et je ne l’ai appris que quand il était trop tard.

#82
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Mon beau-frère était en train de m’expliquer l’Amérique. Il n’y a jamais été. C’est sa force.

#83
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Le maréchal des logis Fier-à-Bras : Cavalier ! Où allez-vous ? Est-ce que vous vous foutez de moi ?
Fanfan la Tulipe : Imbécile et répugnant je trouve cet exercice.
Le maréchal des logis Fier-à-Bras : A qui croyez-vous donc parler ?
Fanfan la Tulipe : Mais, je viens de vous le dire, maréchal des logis.
Le maréchal des logis Fier-à-Bras : Je vous dresserai, mon gaillard. J’en ai embroché pour moins que ça. N’oubliez pas que j’ai eu trois chevaux tués sous moi.
Fanfan la Tulipe : Hélas, ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers.
Le maréchal des logis Fier-à-Bras : Refus d’obéissance. Désertion dans le service. Tranche-Montagne !
Tranche-Montagne : Oui ?
Le maréchal des logis Fier-à-Bras : Conduis-moi cet homme en prison immédiatement et sans délai. J’vous apprendrai comment je m’appelle, moi, bougre d’andouille !
Fanfan la Tulipe : Oh, joli nom !

#84
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- J’ai décidé, avec l’agrément de votre majesté, que la bataille aurait lieu ici.
- Ici, monsieur le maréchal ?
- Ici, votre majesté.
- Et l’ennemi, lui, qu’a-t-il décidé ?
- Il nous a donné son accord.
- Et où placez-vous votre aile droite ?
- À gauche.
- À gauche… L’idée est plaisante. Et l’aile gauche à droite ?
- Non, sire. Au centre.
- Et le centre à droite comme il se doit. Le dispositif est astucieux.
- Il importe de désorienter l’ennemi. Nous prévoyons dix mille morts en comptant au plus juste. Avec le maréchal de Saxe, vous ne vous tireriez pas à ce prix là.
- Mais, monsieur le maréchal, ai-je l’habitude de marchander la victoire ?

#85
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J’ordonnais aux porteurs de javelots de prendre une formation analogue à celle de la phalange macédonienne. Laisse-moi te dire que tes Barbares bretons sont les plus valeureux adversaires que j’ai jamais rencontré. Ils se sont empalés sur nos javelots et y sont restés accrochés comme des quartiers de viande. Nous avions du sang jusqu’aux chevilles. Est-ce que tu suis notre tactique Lygie ? Ça te paraît clair ?

#86
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- Ce que vous suggérez, lieutenant, ce sont des mesures de désespoir. Voyons, le plus vieux de mes cadets n’a que seize ans.
- Mais monsieur, je… pardon mon colonel, je veux dire mon révérend, je… écoutez, un des servants de ma batterie en a à peine quatorze et j’ai également un vieux de soixante-douze ans. Nous sommes en guerre !

#87
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- Je ne suis pas ici pour faire le rigolo, mais mon travail, mon obscure besogne d’auxiliaire…
- Que vous traitez par dessus la jambe, soyez franc.
- Pour un salaire dérisoire, soyez juste.
- Mais qu’est-ce que c’est ? Ma parole, c’est un clairon !
- Oh non, pas du tout, chef. C’est un piston.
- C’est la même chose !
- Ah non, du tout, chef. Permettez, je vais vous expliquer… Voyez-vous…
- Assez ! Clairon ou piston n’a rien a faire ici !
- Oh pourtant, le piston, au ministère de l’enregistrement, hein, dites…

#88
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- Excusez-moi, messieurs, vous auriez pas de la glace, s’il vous plaît ?
- Bien sûr ! Vanille, chocolat, framboise, moka ?
- Non, appendicite. C’est pour un malade.

#89
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Avez-vous pu enfin savoir où était passé mon deuxième soulier ? J’ai déposé mes deux souliers devant la porte hier soir pour qu’ils soient cirés. Personne ne peut me dire où ils sont. Le portier, le valet de chambre, personne. Il n’y a personne dans l’hôtel qui sache où se trouve l’autre soulier. Vous, monsieur le directeur, vous aurez peut-être l’amabilité de me dire où passent tous les souliers de votre maison ?

#90
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- Je vois pas ce que tu reproches aux hommes mariés à la fin ? Ils sont pas plus bêtes que les célibataires.
- Si, obligatoirement.

#91
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- Je m’demande pourquoi on mange jamais, euh… J’sais pas, moi, euh… Par exemple, euh, du poisson…
- Tu mangerais Jonas ?
- Ah, j’te parle pas d’Jonas, il fait partie de la famille. Non, je parle du vrai poisson, du poisson qu’on pêche. Le poisson est un aliment complet, comme le pain.
- Eh bin, mange du pain !
- Sais-tu au moins c’que le poisson contient ?
- Oui, des arêtes !

#92
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- Et en calcul, où en es-tu mon bonhomme ?
- J’suis 27e, j’ai copié sur Thibaut, il est pas fort.
- Bah, ah, il est pas… t’es pas fort non plus, toi… 27ème… T’aurais pu en prendre, en choisir un qui… Et puis, on copie pas, ça t’apprendra ! Y copie, lui…

#93
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- Va-t’en !
- Sans indiscrétion, où veux-tu qu’j’aille ?
- Chez une de tes maîtresses, tu as l’choix !
- Bah j’vais la connaître la crise du logement !

#94
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- Dites, patron, pourquoi y va toujours chercher son fil au Bazar ? Y’en, y’en a à côté.
- Parce qu’à côté, c’est tout près. Au Bazar, c’est loin. T’as compris ?

#95
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- Je me moque de l’or. Je veux tuer.
- Nous nous y mettrons tous, mon frère. Pour venger ton honneur.

#96
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Sachez-le, mes fils, le fou est celui qui transforme la discussion en dispute.

#97
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Priam : Paris, j’approuve tes plans. Embarque-toi pour Sparte, j’ai confiance, je sais que tu ne les supplieras pas de faire la paix.
Paris : Je veux seulement convaincre les Grecs qu’étant donné notre immense puissance, il faut traiter avec nous.
Polydore : Moi, je les convaincrai ! Avec une centaine de vaisseaux de guerre, j’irai réduire en cendres la ville de Sparte !
Priam : Je te reconnais bien là, Polydore. Tu as toujours rêvé de guerres sans fin.

#98
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- Nous approchons de Sparte. C’est un pays de guerriers où l’on tient à mériter sa réputation de brave. Je me demande comment sont les femmes ?
- Ah, c’est bien là ton esprit profond !
- Mais oui, un esprit profond doit penser aux femmes. Non seulement elles donnent la vie mais elles sont cause de bien des morts. Elles dirigent le destin des hommes.
- Pas le mien en tout cas !

#99
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Un homme, ici, comme c’est intéressant !

#100
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