Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1960

Quelqu’un a dit quelque part que chaque homme est le père de chaque enfant, mais je suppose que ce n’est vrai que pour ceux qui le sentent.

#81
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À quelle troupe comptez-vous faire appel pour défendre ce poste ? Aux grenadiers de la Garde ?

#82
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- Lord Cornwallis a couru toute la nuit en poste, précédent le premier ministre, l’illustre mister Fox et des millions d’Anglais, pour vous apporter lui-même le Traité d’Amiens, signé par Addington pour les Puissances et votre frère Joseph pour la France.
- Tous ont signé ?
- Tous. L’Angleterre, la Russie, l’Espagne, le Portugal, le Maroc, Tunis, Alger, la Turquie et la Bavière.

#83
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- Santa Anna a une armée de sept mille hommes environ.
- Et alors ?
- Voyons, vous ne comptez pas défendre cette mission déjà en ruine contre sept mille soldats bien entraînés et armés ?
- Colonel Bowie, vous étiez ivre de la conférence d’hier. J’aimerais reporter cette discussion à notre prochaine réunion au cours de laquelle je vous exposerai mes plans et comment j’ai l’intention les faire appliquer !

#84
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- Eh Jim, pourquoi qu’on doit travailler comme ça ? Je m’suis engagé pour me battre, pas pour faire un fort. Alors pourquoi qu’on travaille tant ?
- Parce que le vieux Sam l’a dit à Travis, que Travis me l’a dit et qu’ensuite, moi j’te l’dis !

#85
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Vous êtes un triple idiot, Travis !

#86
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- Monsieur Travis, je confierais à Jim ma propre existence, qui plus est je lui confierais la vie de mes propres enfants et plus encore, j’avoue que je lui confierais le sort du Texas !
- Mon général…
- C’est tout Travis !
- À vos ordres.
- Travis ! Je n’ai jamais pu vous sentir mais vous n’en êtes pas moins l’un des rares hommes à qui je confierais le sort du Texas.
- Pour cela, merci mon général.
- J’ajoute même qu’il se pourrait bien que son sort dépende de vous ces temps-ci.

#87
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- Est-ce que vous êtes fâché de toutes mes questions, pasteur ?
- Non, petit. C’est en interrogeant qu’on s’instruit.
- Oui, m’sieur. Mais souvent, en chemin, vous vous arrêtez en route pour dire les grâces. Et moi je ne saisis guère les raisons pour lesquelles vous remerciez Dieu. J’veux dire que je n’vois rien de spécial.
- Je l’remercie pour le temps et puis pour l’endroit.
- Je n’comprends pas, pasteur.
- Le temps pour vivre, l’endroit pour mourir. C’est tout ce qu’on obtient sur Terre. Ni plus, ni moins.

#88
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- Et pourquoi est-ce nous ? Oui, pourquoi nous ?
- Parce qu’il n’y a que nous ici, et personne d’autre !

#89
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Un volontaire : C’est l’armée la mieux habillée qu’on puisse voir.
Bull : C’est pas une jolie tunique qui fait un bon combattant.
Un volontaire : Ils sortent d’une guerre de deux ans et ont maté une révolution. Ils savent se battre.

#90
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- Il faut que je découvre le foyer d’infection.
- Vous ne le trouverez pas avec un bistouri, docteur.

#91
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- J’espère que vous ne m’en voudrez pas si je vous dis ceci : durant les semaines où nous avons travaillé ensemble, j’ai conçu une très grande affection pour vous.
- Je vous remercie de me le dire. Une femme est toujours heureuse de l’entendre… Mais il y a peu d’hommes qui ont assez de courage pour le dire.

#92
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Les Allemands se sont emparés de Kiautschou, les Russes se sont emparés de Port-Arthur, les Français ont obtenus des concessions dans le Yunan, le Guangsi et le Kwantung. En tout, treize des dix-huit provinces de la Chine sont sous la domination étrangère. Des bateaux de guerre étrangers occupent nos ports. Des armées étrangères occupent nos forts. Des financiers étrangers administrent nos banques. Des dieux étrangers troublent la paix des esprits de nos ancêtres. Est-il surprenant que notre peuple se soulève ?

#93
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- Vous rappelez-vous ce que Napoléon disait à propos de la Chine ?
- Oui, je m’en souviens. Laissez la Chine dormir car lorsqu’elle s’éveillera, le monde entier tremblera.
- Que n’a-t-il pas dit, celui-là !

#94
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- Alors ? Quel est cet important problème féminin ?
- Seulement celui-ci. Dois-je faire les malles ou ne pas faire les malles ? Retournons-nous en Angleterre ? Prenons-nous notre congé cette année ?
- Ah ! J’sais pas !
- Vous ne savez pas ?
- Pourquoi ne feriez-vous pas les malles ? Si nous ne partons pas, il vous suffira de les défaire.
- Si c’étaient les hommes qui faisaient et défaisaient les malles, la face du monde serait toute différente !

#95
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[Lors du commencement de l’édification des barricades, on prend ce qu’on peut. Des marins français entassent des livres. Le ministre français arrête un marin et regarde un livre]
Histoire d’Angleterre ? Pfff !
[Il envoie le marin entasser les bouquins avec les autres]

#96
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Sir Arthur Robertson : Le captaine Hanley m’a dit que vous avez repris le Mur, mon commandant. Je suppose qu’on vous a dit. Il est mort aussi.
Le sergent Harry : Monsieur le ministre peut peut-être nous dire pourquoi il est mort et pourquoi le capitaine Marshall est mort, puisqu’il a l’air de tout savoir ?
Le major Lewis : Ça suffit, sergent. Retournez là-bas.
Sir Arthur Robertson : C’est un excellent soldat quand il sait pourquoi il se bat.
Le major Lewis : C’est plus facile quand c’est pour quelque chose qui se voit, un mur, un bastion, une rivière… Mais comment leur expliquer quand c’est pour un principe ?
Sir Arthur Robertson : Ce n’est pas facile, surtout ici, en Chine. C’est trop loin de leur pays.

#97
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Les inconnus sont quelques fois les meilleurs amis d’un soldat.

#98
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[Confusion des hymnes nationaux joués par les diverses fanfares]
- Qu’est-ce que c’est, cet horrible vacarme ?
- Il y a vingt nations qui crient la même chose en même temps, « Prenons la Chine ! »

#99
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It should take you exactly four seconds to cross from here to that door. I’ll give you two.


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