Top - Citations de films et séries des années 1970

Je ne veux plus te voir. Et je voudrais ne jamais avoir posé les yeux sur toi.

- Je suis sûre que tu es un garçon merveilleux.
- Et moi je suis sûr que t’es une petite salope !

Ce que c’est bon de pas baiser !

Quelle race ! Quelle race !

Je ne sais pas après ce qu’il a dit parce que son français est trop fort !

Vous verrez à noël, on en reparlera !

Fifty-fifty ?

Il tire la chasse d’eau ? Comment ça, il tire la chasse d’eau ? Non, je comprends rien, il doit y avoir une raison, mais pourquoi tire-t-il la chasse d’eau ?

Vous m’en excuserez, messieurs, mais n’étant pas anglais, je trouve parfois que votre sens de l’humour est assez difficile à saisir.

- Dans le rapport que j’ai lu, vous mentionnez un cadavre accroché au grand mât, le cadavre d’un homme, c’est exact ?
- Affirmatif, c’était bien ça. C’est bien un homme, oui. Et même qu’il s’appelle Martin, Peter Martin.
- Alors nous ne sommes pas d’accord avec vous. Nous, nous avons trouvé une femme. Elle a de longs cheveux blonds. Elle doit mesurer environ un mètre soixante-dix et peser cinquante-cinq kilos.

Vous ne pensez qu’à vous bronzer et à faire les lézards au soleil. Mais si vos petits-fils aryens sont condamnés à vivre dans un monde pourri dominé par les Juifs et les bandes de Nègres, de Tziganes et d’Arabes, vous vous en foutez !

Tu sais, les lavages d’estomac, y faut pas y penser. Ce truc-là contient de la strychnine. On dit toujours que la souffrance physique nous rapproche du ciel. Tu pourras tenir vingt minutes. Amuse-toi.

Qui est cet homme qui se tient là, qui scrute mon âme ? Éloignez-moi vite de cet endroit !

De l’eau et du pain dur attendent le poète qui se présente à la porte d’Hakim. Et s’il vient à protester, d’un seul geste il sera définitivement rassasié. Et… Et le pain entre ses murs je le jure, est plus fluide encore que l’eau !

Et voici les impératifs que le Prophète nous impose à tous. Tu ne feras de mal ni à la femme, ni à l’enfant ni au vieillard. Tu ne feras aucun mal à l’impotent. Tu ne feras aucun mal à celui qui travaille dans son champ. Tu ne pourras abattre aucun arbre. Ne frappe que celui qui t’a expulsé, qui a volé tes droits et qui s’est enrichi en s’emparant de tes biens.

- Mahomet ! Écoute-moi ! Un jour pour un jour ! Le jour de Ochod pour le jour de Bedr ! Nos morts ont répondu à tes morts !
- Nos morts sont au Paradis ! Vos morts sont en Enfer !

Aucune porte ne pourra être enfoncée ! Nul ne sera dépouillé, nul ne sera maltraité, nul ne sera volé ! Tout ce qui est protégé par une porte est en sécurité ! Tout ce qui se trouve dans la demeure d’Abu Sufyan est en sécurité. Tout aux alentours de la Kaaba est en sécurité !

- Y’aurait-il eu la peste ? Est-ce que tout le monde a abandonné cette ville précipitamment ? On pourrait s’emplir les poches de jolie façon ! Aucun marchand ne surveille ses étals !
- Dieu surveille les étals.

Bien qu’ils soient plus nombreux, je crois que le combat est équitable. Nous les voyons. Ils nous voient. Ce que je peux apercevoir ne m’a pas fait peur.

Ma tête est pleine du plan de Genda. Même lorsque j’essaie d’élaborer un autre plan, je reviens chaque fois au plan de Genda. Les modifications de l’amiral Onishi le rendent moins efficace. C’est le meilleur. Il faut que nous suivions le plan de Genda !