Top - Citations de films et séries des années 2010

La peur ne te paralyse pas elle te réveille.

Le soleil, la lune, la vérité.

- Combien pour le flingue ?
- Il n’est pas à vendre.
- Ok ! Combien pour le bras ?
- …
- Ouh, je l’aurai ce bras.

Ton combat est terminé.

Soit tu es un Wonkru soit tu es un ennemi des Wonkru.

Le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible.

- Pourquoi rêver est-il si important ?
- Parce que dans mes rêves on est toujours ensemble.

Il est amoureux de toi. Y’a qu’une autre fille que je l’ai vu regarder de la façon dont il te regarde toi, sauf qu’elle est beaucoup plus petite et qu’ils ont le même ADN. T’es pas obligée de le pardonner aujourd’hui, mais fait le, s’il te plaît.

C’est tellement plus simple de fuir que de se battre pour ce qu’on veut vraiment.

Trompe moi une fois, honte sur toi, trompe ma meilleure amie, j’te pourris la vie.

Toute personne sinistre qui veut être ton ennemi commence toujours par essayer d’être ton ami.

J’ai vraiment cru que t’avais le potentiel pour devenir un coureur. Mais c’était avant que tu te vautres. Super ta gamelle.

- Suis-je devenu fou ?
- Oui je pense Chapelier. Mais je vais te dire un secret : la plupart des gens bien le sont.

Je m’excuse pour t’avoir frappé Papa, je préférais mourir plutôt que de te ressembler… Et c’est ce que je suis en train de faire. Mais j’ai tant de colère en moi, et elle vient de toi. Je te déteste de m’avoir fait grandir en pensant que l’amour ça ce méritait et que moi je le méritais presque jamais. Je te déteste pour avoir vu maman pleurer si souvent, et un jour j’espère, quand je lui aurait donné assez de force et de courage pour te quitter, que tu te retrouveras tout seul et tu mourras tout seul. Et ce jour-là Papa, ce jour-là je serai triste d’avoir perdu deux pères : celui que j’aurais pu et celui que j’ai jamais eu. Adieu Papa.

There is only one God, his name is Death. And there is only one thing we say to Death : “Not today”.

La liberté coûte cher et son prix ne se mesure pas qu’en chiffre.

J’aimerais dire quelque chose. Ça change rien qu’Harry soit mort. Des gens meurent tout les jours, des amis, de la famille. Oui, on a perdu Harry cette nuit, mais il est toujours là, dans nos cœurs, comme Fred, et Remus, et Tonks, tous. Ils ne sont pas morts en vain, [À Voldemort] mais vous oui, parce que vous vous trompez ! Le cœur d’Harry bâtait pour nous, pour nous tous, ce n’est pas fini !

La fin fait partie du voyage.

J’ai lu des centaines de romans dans ma vie, la plupart d’entre eux prétendent que l’amour est le centre de l’univers, qu’il peut guérir toutes les blessures que nous portons, qu’il est nécessaire à notre survie. De Darcy à Heathcliff je les prenais pour des idiots, je croyais que l’amour était une fiction qui ne se trouve que dans les pages usées d’un livre. Mais tout a changé depuis que j’ai rencontré mon Elizabeth Bennet. Je n’aurais jamais cru me retrouver complètement et totalement consumé par une autre avant elle. Elle m’a pris par la main, m’a fait sortir de l’obscurité me montrant que de quoi que soit faites nos âmes, les nôtres sont pareilles. Je suis désolé. Je t’en prie pardonne-moi. Tu m’as déjà demandé quelle personne j’aimais le plus au monde. C’est toi.

Si une femme est trop bien pour toi, épouse là. Joyeuse Saint-Valentin !