Kaakook

Top - Citations de films de tous les temps

- Vous êtes malade !
- Et j’en remercie le ciel parce que autrement je ne pourrais pas faire ça !

#21 9.41 (616 votes)

Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité…

#22 9.41 (483 votes)

- After all this time?
- Always.


- « Toujours », c’était une promesse ! On a pas le droit de briser une promesse.
- Parfois les gens ne comprennent pas les promesses au moment où ils les font.
- Ça n’empêche pas de les tenir quoi qu’il arrive. C’est ça, l’amour. C’est tenir sa promesse quoi qu’il arrive. Tu ne crois pas au grand amour ? Moi, j’y crois. Et je l’aime. Et elle a promis, elle m’a promis « toujours ».

#24
9.41 (160 votes)

La peur ne te paralyse pas elle te réveille.

#25
9.41 (193 votes)

- Combien pour le flingue ?
- Il n’est pas à vendre.
- Ok ! Combien pour le bras ?
- …
- Ouh, je l’aurai ce bras.

#26 9.41 (143 votes)

- Soit c’est du génie, soit c’est de la folie.
- Ce qui est le plus marrant, c’est que le plus souvent, ces deux choses vont ensemble.

#27 9.4 (572 votes)

Bonsoir Londres. Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption. J’aime, comme beaucoup d’entre vous le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun.
Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer ce 5 Novembre, jour hélas oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu.
Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans des téléphones et que des hommes armés vont bientôt se mettre en route. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et la où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité.
Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais… Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir.
Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers Adam Sutler, aujourd’hui Chancelier.
Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile. La nuit dernière, j’ai cherché à mettre fin à ce silence ! La nuit dernière, j’ai détruit le Old Bailey pour rendre la mémoire à ce pays.
Il y a plus de 400 ans, un grand citoyen a voulu ancrer à jamais le 5 Novembre dans nos mémoires. Il espérait rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 5 Novembre.
Mais si vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, si vous désirez ce que je désire, alors rangez vous à mes côtés dans un an à compter d’aujourd’hui devant les grilles du Parlement, et ensemble, nous leurs offrirons un 5 Novembre gravé à jamais dans les mémoires !!

#28
9.4 (853 votes)

- Qui êtes-vous ?
- Qui ? « Qui » n’est autre que la forme qui résulte de la fonction de « qu’est-ce-que », et ce que je suis c’est un homme sous un masque.
- Ça je vois…
- De toute évidence. Je ne mets pas en doute ton sens de l’observation, je ne fais que mettre en exergue le paradoxe qui est de demander à un homme masqué qui il est.

#29
9.4 (897 votes)

La mort est une journée qui mérite d’être vécue.

#30 9.4 (886 votes)

On me dit de me souvenir de l’idée et non de l’homme, parce que l’homme peut échouer, il peut être arrêté, il peut être exécuté et tomber dans l’oubli alors qu’après 400 ans, une idée peut encore changer le monde. Je connais d’expérience le pouvoir des idées. J’ai vu des hommes tués en leurs noms… et mourir en les défendant. Mais on ne peut embrasser une idée. On ne peut la toucher ou la serrer contre soi. Les idées ne saignent pas, elles ne ressentent pas la douleur… et elles ne peuvent aimer.

#31
9.4 (477 votes)

Il n’y a pas de certitudes, il n’y a que des opportunités.

#32
9.4 (288 votes)

- Le traître n’est sûrement pas parmi nous.
- … Où est Will ?
- Pas parmi nous.

#33 9.4 (969 votes)

Le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible.

#34
9.4 (2175 votes)

- Pourquoi rêver est-il si important ?
- Parce que dans mes rêves on est toujours ensemble.

#35
9.4 (207 votes)

Il est amoureux de toi. Y’a qu’une autre fille que je l’ai vu regarder de la façon dont il te regarde toi, sauf qu’elle est beaucoup plus petite et qu’ils ont le même ADN. T’es pas obligée de le pardonner aujourd’hui, mais fait le, s’il te plaît.

#36
9.4 (456 votes)

J’ai vraiment cru que t’avais le potentiel pour devenir un coureur. Mais c’était avant que tu te vautres. Super ta gamelle.

#37 9.4 (158 votes)

On leur fait coucou les p’tits gars ! on leur fait coucou…

#38 9.39 (122 votes)

À quoi ça sert d’être en vie si on a pas de raison de l’être.

#39 9.39 (384 votes)

- Quand est-ce que tu as perdu la tête ?
- Il y a trois mois je me suis réveillé marié à côté d’un ananas… hyper moche en plus.

#40 9.39 (759 votes)

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