Kaakook

Top - Citations de films des années 1950

- Depuis quand, dans nos familles, les femmes couchent-elles avec leurs maris ? Est-ce que tu couches avec ta femme, toi ?
- Bah, elle n’est jamais là !
- Oh, il faut que ça change, nous courrons à la révolution !

#181
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Ils étaient là, couchés ensemble, ces hommes faits pour s’entendre et que la société avait dressés les uns contre les autres.

#182
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Bon sang, quel coffre !

#183
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Laissez tomber le monsieur entre nous, monsieur !

#184
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Une femme est un poison. Pas désagréable à prendre.

#185
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- Avoir une femme à bord, ça porte malheur, commandant. Et si une porte malheur, alors vous vous rendez compte avec cinq…
- Qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse ? Les jeter par-dessus bord ?
- Après tout, c’est une idée comme une autre.

#186
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Tout ça est triste à pleurer, pourquoi est-ce que ça me donne envie de rire ?

#187
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Oh, allez-vous-en, allez-vous-en, avant que je vous fasse expulser d’ici par la garde et alors je ferai surveiller les gardes par d’autres gardes !

#188
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- Est-ce que vos services de renseignement sauraient par hasard ce qu’est devenu le colonel Nicholson ?
- Non.
- Son courage frisait la folie. Ils étaient sur le point de le fusiller, il n’a pas bronché.
- J’ai l’impression qu’au moment où on va être fusillé, il n’y a plus grand chose à faire, hein ?

#189
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Aujourd’hui, repos. Demain, travail. Laissez-moi vous rappeler le mot d’ordre du général Yamashita : la joie par le travail !

#190
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- Une seule lettre pendant ces cinq ans. Je l’ai lue jusqu’à ce que le papier soit tout en miettes et que l’écriture soit effacée.
- Oui, j’reconnais qu’c’était pas beaucoup en fait de correspondance.
- Non, en effet. Tu aurais dû écrire que tu m’aimais. Tu pouvais au moins me dire de t’attendre, je trouve que c’était la moindre des choses.
- Mais j’t’ai toujours aimé, Laurie, j’croyais que tu l’savais sans que j’ai besoin de te l’dire.
- C’est très mal, Martin Pawley, c’est très mal c’que tu as fait là, tu sais.
- Je ne veux pas que tu pleures.
- Moi je pleure ?
- Oui, j’vois bien. Y’a plus qu’une chose qui m’reste à faire maintenant. C’est d’ficher le camp.
- Oui, pars, Martin Pawley, et moi je mourrai !

#191
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Parfois, mieux vaut attendre que partir à point.

#192
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- J’en peux plus de ma femme.
- Ah, ah. Et qu’est-ce que vous lui reprochez ?
- D’être là.
- Il ne fallait pas l’y mettre.
- Ça c’est mal répondu, monsieur le curé.

#193
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- J’ai beau avoir 53 ans, moi, j’me lave les pieds !
- Qu’entendez-vous par là ?
- Que j’me les mets dans l’eau et que j’me les savonne.
- Ah, ah bon, je croyais que c’était une façon de parler. Hahaha ! Et elle n’en fait donc pas autant ?
- Si, tous les deux mois. Pourtant elle voit bien que moi, j’me les lave toutes les semaines. Comme tout le monde.

#194
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- S’il lui flanquait une bonne raclée de temps en temps, ça lui apprendrait peut-être à vivre !
- Si votre défunt mari vous en avait flanqué des raclées à vous-même…
- C’est parce qu’il s’en privait pas, monsieur le curé, que j’en souhaite aux autres !

#195
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N’oublie pas que tu n’es qu’un mortel !

#196
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À la guerre, les meilleurs meurent toujours les premiers !

#197
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Où trouver un homme de confiance à notre époque !

#198
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Celui qui n’a pas été révolutionnaire à vingt ans est un malheureux mais celui qui l’est resté à quarante est un imbécile !

#199
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Il y a deux façons de prendre les femmes, par la taille ou par le sentiment.

#200
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