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Top - Citations de films de l'année 1960

Chaussez tous vos bottes de sept lieues ! Chaque heure de perdue est une chance de plus pour le malheur !

#21
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- Berthier, écrivez. Mes cent cinquante mille hommes, cantonnés de Brest à Ambleteuse, vont partir immédiatement. Ils vont, dans le plus grand secret, traverser la France et l’Allemagne, en trois semaines, en direction de Vienne.
- Mais il y a cinq cents lieues à pied !
- Oui ! Oui. Des souliers, des souliers, occupez-vous de ça tout de suite, Daru !

#22
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Franz Von Weyrother : Mi zametili…
Un général autrichien : Pardon ? Ich verstehe nicht russisch…
Franz Von Weyrother : Ah, richtig. Die ender ebe…
Un général russe : Ja nie panimayu ponemetski…
Langeron : Moi, mon général, vous savez que je suis Français et que je comprend mal l’allemand et le russe.
Franz Von Weyrother : Bon, alors je… j’espère que tout le monde comprend le français !
Tous : Oui ! Ja ! Da !

#23
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- Une bataille de titans se prépare. C’est si beau, c’est si grand ! Je vis auprès de vous de telles minutes que je voudrais trouver le titre de mon chapitre de ce deux décembre.
- Mais le voici le titre, mon petit, le Soleil d’Austerlitz !

#24
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- As-tu peur de mourir, Spartacus ?
- Non, pas plus que je n’ai eu peur de naître. Et toi, tu as peur ?
- Oui.

#25
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Jean-Marie Péjat : J’suis allé plus loin qu’Verdun et la Somme, moi, j’ai pas fait une guerre de fainéants !
Baptiste Talon : Hein ? Qui qu’a fait une guerre de fainéants ?
Blaise Poulossière : Oser insulter ceux qu’ont péri sous les obus pendant que d’autres faisaient danser les moukères ! Fils d’garce !
Jean-Marie Péjat : ’Cré bon dieu, vous allez tout de même pas comparer vos bains de boue avec mes turqueries !

#26
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Mais dis donc, vous savez qu’il est superbe ! Vous croyez qu’on me laissera le ramener à la maison, celui-là ?

#27
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Ce jean-foutre de Villeneuve est à Cadix ! Où il va être bloqué, naturellement… Quelle marine. Quel amiral. Ça n’a pas de nom. Misérable ! Il sacrifierait tout pourvu qu’il sauve sa peau ! Mais qu’est-ce que je peux bien foutre avec des gens comme ça ? Deux ans de préparatifs, cent cinquante mille hommes immobilisés. Tous ces sacrifices, inutiles ! À Cadix ! Quand on le guette à la lunette à Boulogne !

#28
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J’avais déjà vu des batailles perdues mais je n’avais pas l’idée d’une aussi affreuse défaite !

#29
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- Allons, débitez votre boniment, Travis.
- Pas Travis, colonel.
- Moi aussi j’suis colonel ! Avouez qu’on aurait l’air idiots tous les deux de s’envoyer du colonel, colonel, colonel comme une paire de perruches. Allez-y, appelez-moi Crockett. Je vous fais grâce de mon grade. C’est ce vieux soûlot de général Flatford qui m’l’a donné pendant la guerre contre les Indiens. J’vous appellerai Travis.
- Bien, comme vous voudrez Crockett.

#30
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Donnez quelque chose au petit.

#31
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- Nous, en France, les prisonniers, on les flingue pas.
- Forcément, on en n’a pas tellement hein…

#32
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Il y a en chaque Dudu un Platon qui sommeille !

#33
7.5 (10 votes)

Si deux hommes se couchent et refusent de continuer le combat, votre entraîneur devra leur couper la gorge comme à des poulets, nous ne voulons pas de trucage !

#34
7.5 (10 votes)

C’est sinistre ici, je veux qu’on s’amuse à la folie !

#35
7.5 (10 votes)

Nous reviendrons ! Nous reviendrons et nous serons des millions !

#36
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- Tous les hommes perdent quelque chose en mourant et nous mourons tous mais un esclave et un homme libre ne perdent pas la même chose.
- Ils perdent la vie tous les deux.
- Lorsqu’un homme libre meurt, il perd les plaisirs de la vie. Un esclave, lui, perd sa misère. D’ailleurs, la mort est la seule liberté pour un esclave, c’est pourquoi il ne la craint pas. Et c’est pourquoi nous vaincrons.

#37
7.39 (13 votes)

Si t’as pas un grand-père banquier, veux-tu me dire à quoi ça sert d’être juif ?

#38
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Tel était donc le destin des Elois. Être élevés comme du bétail par les Morlocks qui avaient dégénéré jusqu’à l’ultime bassesse humaine : le cannibalisme !

#39
7.37 (9 votes)

Ne comptez pas me voir entrer en transe parce que la vie d’un enfant juif est en jeu, et vous, pas de crise de nerfs surtout. Vous êtes en retard, en retard d’une dizaine d’années. Environ deux millions d’enfants juifs ont été à l’abattoir comme des bêtes parce que personne n’en voulait. Aucun pays ne voulait d’eux, ni le vôtre, ni aucun autre. Et personne ne veut non plus des survivants. La viande juive n’est pas chère, elle l’est moins que le boeuf, elle l’est même moins que le hareng !

#40
7.37 (9 votes)

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