Top - Citations de films de l'année 1980

- Lâchez-moi !
- Y’a pas de quoi s’exciter…
- Me tenir comme vous le faites n’est pas suffisant pour m’exciter.
- Désolé mon cœur, mais nous n’avons pas le temps pour autre chose…

You ever seen a grown man naked?

Bruno tu as des amis au moins ? « i » et « e » !

Je fais le café !

Nous ne nous connaissons pas et je les déteste déjà !

- Comment vous appelez-vous, mon grand ?
- Élève Gaston Pourquier.

Tu fais preuve d’une grande sagesse !

- Heu, je peux m’assoir à cette place ?
- Ça ne vous gène pas trop le bruit dans ma tête ?

- Je t’aime.
- Je sais.

Mais de toute façon, papa, même si je l’avais eu, qu’est-ce que ça changeait ? Bachelier ou pas bachelier, même chômage.

Dites donc, vous, ça fait trois fois que vous faites tomber votre règle métallique !

Je les materai ! Je les materai !

Wendy… Darling, light of my life, I’m not gonna hurt you, you didn’t let me finish my sentence. I said I’m not gonna hurt you, I’m just gonna bash your brain in!

- Vous, là ! Derrière !
- Moi ?
- Oui, vous !
- Pourquoi ?
- Parce que c’est comme ça ! Si ça ne vous plaît pas la porte est grande ouverte ! Votre trimestre est payé d’avance, ça sera tout bénéfice !

- Pardon, je ne vous dérange pas ?
- Bah si un peu, quand même.
- Un peu de gymnastique vous ferai plaisir ?
- Ah bah ça j’aimerai parce que ça détend !

- Mais comment j’ai pu aimer un type comme toi !
- Avec ta chatte.

Baptiste : Pour qu’un jour j’aie une chance d’avoir mon bac, il faudrait qu’on supprime les épreuves. Ou alors, qu’on tire au sort le nom des reçus, sinon…
MC2 : C’est vrai, le bac par tirage au sort, ça serait beaucoup plus équitable pour tout le monde. Fils d’ouvrier ou de bourgeois, même chance pour tout le monde au départ.
Gaëtan : Absolument, absolument. Et puis plus tard, la même chose. Tout le monde travaille et à la fin du mois, on tire le salaire au sort. Alors, pour le même boulot, un coup on gagne une brique, un coup on a le SMIG.

Notre peuple vaincra !

Aïe aïe aïe aïe aïe…

Tu vois, Charles-Hubert, ces derniers temps, on a eu des mots, des frictions. Et bien, si tu me disais « J’te prends là, debout, toute habillée », c’est pourtant pas mon genre, hein… je saurais pas dire non !