Top - Citations de films de l'année 1988

La vie n’est pas un long fleuve tranquille maman.

Normalement l’année de l’agreg on voit personne ! On vit avec la charrette qui prépare le concours, on joue notre vie ! Cinq ans de préparation, en un seul jour on peut tout foutre en l’air !… J’la veux l’agreg !

- Vous avez des enfants, lieutenant ?
- Moi ? Non.
- Tant mieux pour eux.

- Je pense que Dieu aime les fous.
- Pourquoi ?
- Parce-que, il en met tellement au monde.

- Oh Sorsha… Je t’en prie réveille toi de cet odieux sommeil ! Il me prive de ta beauté ! La beauté de tes yeux !
- Un geste, crétin, et tu seras vraiment une femme !
- Tu es mon soleil, ma lune ! Mon ciel étoilé ! Loin de toi, je suis prisonnier des ténèbres ! Je t’aime !
- Qu’est-ce que tu fais ici ?
- Ton pouvoir m’a ensorcelé il me laisse sans défenses ! Allez viens je t’emmène, ce soir laisse moi te vénérer comme une déesse ! Viens dans mes bras !
- Ne t’approche pas !
- Je t’aime Sorsha !
- Arrête de dire ça !
- Est-ce que je peux empêcher mon cœur de battre ? Jamais il ne s’était emballé comme ça…
- C’est la peur !
- C’est l’amour !
- Tu veux que je le calme ? C’est facile je peux te tuer !
- Comparé à l’amour, la mort n’est qu’un détail… Je mourrais cent mille fois pour une de tes caresses.

- Ma vie toute entière est une chambre noire… Une belle… grande… chambre… noire…
- Tu étais très malheureuse à New-York, tu resteras très malheureuse à la campagne ! Ça n’a rien changé pour toi, c’est formidable !

- BONJOUR, MES VOISINS !
- EH OH ! VA CHIER !
- OUI ! MERCI ! VA CHIER AUSSI !

Mais ça finit toujours mal ! Bon Dieu ! Ça finirait pas si ça allait bien !

Mon très cher Brian,

Quand un type comme moi se regarde dans la glace, ou bien il sourit ou il s’éclipse discrètement, et je n’ai pas eu l’occasion de sourire depuis bien longtemps.

Ce n’est sans doute pas une sortie très élégante, mais je vois bien que ma bouteille est vide. Ce qui me manquera le plus ce sont les discussions que nous avons eues. Cette fois au moins, j’aurai le dernier mot, même si tu le reçois par la poste.

Loi de Coughlin : « enterrer les morts, ils empestent le bistro ». Quand aux autres lois de Coughlin, oublie les, ce type ne disait que des conneries mais ça, j’imagine que tu le savais déjà.

- Puisse Dieu nous délivrer du venin du cobra, des crocs du tigre et de la vengeance de l’Afghan. Tu comprends ce que ça veut dire.
- Qu’il vaut-mieux pas vous emmerder.

J’aurai ta peau !

Quand j’avais 17 ans, j’étais tellement amoureux que j’ai failli me suicider pour une fille. Deux ans plus tard, je me souvenais même plus de son nom. Crois-moi Jacques, le temps ça efface tout.

Tu ferais bien de t’enfuir au lieu d’écouter ce perroquet poilu !

- Alors, après toutes ces années, je suppose que tu dois avoir des tas de questions à me poser, c’est pas vrai ?
- Oui, des tas de questions.
- Alors je t’écoute.
- Je n’ai jamais su poser les questions…

Qui joue en première base ?

Dans la famille boulanger je demande le fils !

- Oh, c’est sûrement Roger ! Mon cher mari n’a jamais été très doué pour tenir un volant
- Hum, meilleur amant que chauffeur, hein ?
- Tu ne crois pas si bien dire, mon pote !

Pas un geste, sinistre flaque d’urine de mangouste !

On compte les cartes.

J’ai demandé au pompier, à l’épicier, au boucher, au boulanger, aucun d’eux ne savait, mais le petit caviste lui, il savait.