Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2000

Violet le matin. Bleu l’après-midi. Orange le soir. Les voilà mes trois repas, monsieur le petit malin. Et vert le soir. Aussi simple que ça. Un deux trois quatre.


- Tu serais prêt à te battre ?
- Pourquoi, tu crois que j’ai peur ?
- Je crois que tu as eu peur toute ta vie.

#102
8.39 (114 votes)

- Ah! c’est de la bave ?!
- Oui je sais j’oublie toujours d’avaler.
- T’en fais pas moi j’oublie jamais….

#103 8.39 (77 votes)

On my signal, unleash HELL!


J’insinuais pas que tu sais pas tirer, je sais très bien que tu sais pas tirer.

#105
8.36 (57 votes)

Tes fautes de fils sont mes défaillances de père.

#106
8.35 (123 votes)

Je sais que, quand je ferme les yeux, le monde ne s’arrête pas de tourner.

#107
8.33 (32 votes)

- T’as remarqué que dans le film « Charlie et la chocolaterie », les Oompa Loompas ne portent jamais de gants en latex ?
- Tu sais ce que je déteste le plus ? Les étiquettes qu’ils collent sur les pommes. Le temps que tu les enlèves, t’as plus envie de manger la pomme.
- Des fois j’aimerais pouvoir me blottir contre une fille, se serrer l’un contre l’autre, comme sur la photo de John Lennon et Yoko Ono.

#108
8.33 (80 votes)

Miguel, tu parles à un cheval ?

#109
8.33 (26 votes)

Pourquoi ça ne m’étonne pas ?

#110
8.31 (49 votes)

Je suis victime de schizophrénie avec psychose paranoïaque et délires narcissiques.

#111
8.29 (25 votes)

- Suivons le chemin !
- Quel chemin ?
- Le chemin que nous traçons !

#112
8.29 (25 votes)

Peut-être mais je suis pas « Fop », bordel de merde, j’suis Dapper Dan moi !

#113
8.28 (19 votes)

- Alors les p’tits pédés on n’est pas au défilé. Ça nous excite pas tous ces beaux militaires hein, on préfère rester à la maison à se grignoter la biscotte. Allez qui m’aime me suive.
- T’a pas un peu abusé Daniel ?
- Non, je suis sur qu’ils ont aimé.

#114 8.28 (54 votes)

T’as pas peur d’avoir les couilles explosées à chaque fois que tu t’assois ?

#115
8.28 (48 votes)

Avant de mourir je suis heureux d’avoir eu des amis.

#116
8.28 (19 votes)

- Il surveille la voiture
- Pour qui il nous prend ? Des voleurs ?
- Non, c’est pas ça m’dame O’Neil. Il aime bien surveiller les voitures, c’est tout.

#117
8.27 (42 votes)

Putain tu vois pas que j’glisse CONNARD !

#118
8.26 (36 votes)

Ce qui compte, ce n’est pas la couleur mais la qualité de l’âme.

#119
8.25 (30 votes)

- Et si je te disais que tu as fait le travail pour lequel on t’a engagé et bien fait même mais que quelqu’un te sabotait, quelqu’un t’exploitait, te piquait tes idées et toi tu t’es rendue compte de rien !
- Comment est-ce possible ?
- Oh crois moi c’est possible.
- Mais qui ferait une chose aussi ignoble ?
- C’est… c’est moi !
-…
- J’étais un pauvre type sans grand intérêt quand tu as été nommée au poste que moi j’étais persuadé avoir, et bah je ne me suis pas demandé si tu le méritais plus que moi ou si tu étais plus compétente. J’trouvais que ce boulot me revenait de droit et j’étais prêt à tout faire pour le reprendre. Et alors je t’ai exploité de la façon la plus épouvantable…
- … [les larmes aux yeux]
- Ça t’es arrivée de faire ça ? De faire fausse route ? Non bien sûr pas toi, t’aurais jamais fait ça, y’a que quelqu’un comme moi pour le faire. Et le problème dans cette histoire c’est que plus j’essayais de t’enfoncer et plus j’apprenais à te connaitre. Et plus je te connaissais et… et plus j’étais émerveillé ! Non c’est vrai, tu m’as ébranlé, tu as boulversé ma vie, tu m’as ébloui !
Les hommes dans le genre de ton ex mari sont coupable de t’avoir fait croire que le prix à payer pour être toi même, c’était de perdre le droit d’être aimé ! C’est bien ça que tu as essayée de me dire l’autre soir, que tu n’étais pas une femme complète et dans ses conditions pas vraiment gagnante.
Tout ce qui fait que tu es toi, ton esprit ta bonté ton, intelligence, tout ce que tu es, tout fait que moi je te désir encore plus et… Oh… Oh non de Dieu… On pourrait croire que je suis venu à une heure du matin pour jouer les héros et voler à ton secours mais la vérité c’est que moi j’ai besoin qu’on vole à mon secours.
- … [retenant ses larmes]
- Maintenant j’aimerai pouvoir lire dans tes pensées.
- J’étais en train de penser que, si tout ce que tu m’as dis est vrai, si c’est vrai qu’on me rend mon travail… je… crois que tu es viré.
- Bah… j’avais pas vu les choses sous cet angle là… Enfin non pas que… que je ne le mérite pas… ça… ça oui je le mérite… je begaye…
Euh maintenant je me sens un peu gêné, je me sens gêné de t’avoir dit que j’avais besoin d’être secouru. [en partant]
Enfin voila…
- … [le rattrapant] Et c’est fini ?
- Je ne veux pas que ce soit fini ! C’est pas ce que je veux du tout !
- Alors tu ne vas pas laisser le simple fait que je t’ai viré constituer un obstacle ? Je ne savais pas à quoi réagir en premier. Hé grande nouvelle, j’ai fait fausse route. Quel genre de prince charmant je serai si l’homme que j’aime a besoin d’être secourus et que je le laisse franchir le seuil de ma porte !
- Mon Héros !

#120
8.24 (24 votes)

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