Top - Citations de films de l'année 2010

J’te fais de l’effet !

- T’excuser de quoi ? De m’avoir embrassé ? Tu m’as réveillé. Ça fait une éternité que je ne m’étais pas senti autant vivant. C’est grâce à toi… Mais pour moi, c’est trop tard. Je suis ailleurs, je suis trop loin. Je ne peux plus tomber amoureux. Mais toi, tu mérites le meilleur.
- Merci Thomas.
- Merci Césario.
- Arigatô Daniel.
- Merci Denis.

Et ben c’est pas grave de ne pas trouver les mots, faut juste pas en avoir peur.

- Jusqu’à ce que mon cœur cesse de battre.
- Peut-être même après.

- Ex-plo-séééééé !
- Elle est trop géniaaale !

C’est un endroit fantastique, pour être avec des amis.

I will fight for you. Until your heart stops beating…

C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait tellement mal qu’on arrive plus à respirer… C’est ça la vie.

Je rêve ou je suis en train de me battre en duel avec un cheval ?

Have you any idea why a raven is like a writing desk?

Y a personne qui pouvait rêver d’une putain de plage ?

Quel est le parasite le plus résistant : une bactérie, un virus, un ver intestinal ? … Une idée.

Perfection is not just about control. It’s also about letting go…

Je sais que tu me prends pour un con, mais j’ai mon utilité !

- Pourquoi est-ce qu’il a fallu que je sauve ce dragon ? J’aurais mieux fait de le tuer. Ça aurait été mieux pour nous tous si j’avais fait ça.
- Ouais, et c’est ce qu’on aurait tous fait ! C’est clair… Alors, pourquoi tu l’as pas fait ?!… Pourquoi tu l’as pas fait ?
- Bonne question. Je pouvais pas…
- Désolée, trouve autre chose !
- Pourquoi tout d’un coup c’est devenu si important pour toi de savoir ça ?
- Parce que je veux me souvenir plus tard de ce que tu m’auras dit, là tout de suite.
- J’ai eu la trouille ! J’ai eu une faiblesse ! J’ai pas voulu tuer un dragon !
- T’as dis « voulu » ce coup là !
- D’accord si tu veux, j’ai pas envie ! 3 siècles de tradition et je suis le premier viking qui a pas envie de tuer un dragon !
- … Le premier à voler dessus aussi… Alors ?
- … Je l’ai pas tué parce qu’il avait l’air aussi effrayé que je l’étais. Je l’ai regardé et là… c’est moi que j’ai cru voir.

Je suis lesbienne de toi.

- Edith, arrête.
- |en sautant dans les flaques] Bah quoi ? Je marche.

Dressez vous sans relâche jusqu’à ce que les moutons deviennent des lions.

Je ne veux pas gâcher ma vie en t’aimant mal.

J’doute de moi, j’me dis que peut-être j’me suis trompée. J’m’invente des scénarios, j’l’imagine en train d’arriver en retard dans un autre café. T’sais j’regarde où est-ce que j’suis, j’étais à la bonne place. Le fait que… ça fait 32 minutes. Troisième étape : j’me dis que, t’sais, moi, ça m’dérange pas d’attendre. Faut que j’m’occupe, t’sais j’lis, j’fais semblant d’lire, j’lis tout l’temps l’même paragraphe. J’vais aux toilettes, j’commande des affaires, j’reviens m’asseoir. Et là j’le hais. J’commence à l’insulter dans ma tête. J’pense à des stations d’auteur break là, qui seraient parfaits pour quand il va arriver. Ça fait 39 minutes. Il arrive. Il est tout essoufflé, il est beau. Y avait du trafic… ouais… alors je l’excuse t’sais, j’dis que c’est sur, c’est normal qu’il soit en retard t’sais. Parce que… parce que j’suis faible. Pi’ que… la personne qu’on place sur un piédestal a toujours raison.