Top - Citations de séries des années 1990

- Quel heureux hasard !
- Je dirais même plus quel heureux hasard !
- Vous pensiez nous avoir échappé n’est-ce pas ?
- Je le tiens !
- Moi aussi, je le tiens !
- Oh, Dupond !
- Il nous a eus !

- C’est un scandale !
- Je dirais même plus, ça ne se passera pas ainsi, Commissaire !

Dupond : Vous êtes en état d’arrestation, Tintin !
Tintin : Je suis innocent !
Dupont : Et je dirais même plus, toutes les apparences sont contre vous !

Tu l’as raté, imbécile !

Non mais de quoi vous mêlez-vous espèce de petit freluquet, vous ne savez pas à qui vous avez à faire ? Personne n’ose parler ainsi à Rastapopoulos, personne !

Cet enragé est toujours à mes trousses, je n’arriverai jamais à m’en débarrasser ! Approche mon gaillard, avance encore un peu, cette fois-ci, je ne vais pas te rater.

Eh oui, Rastapopoulos qui est tombé dans les rochers près de Rawashpoutalah et que tu croyais mort.

Là-dessus, bye, bye, bonne nuit ! À propos, tu dors avec la barbe au-dessus ou en dessous des couvertures ?

Plus que jamais, chef ! J’ai de vieux comptes à régler avec Tintin !

Que le grand crique me croque !

Alors, mon petit, tu ne t’attendais pas à ce que le Colonel Jorgen vienne un jour chercher sa revanche jusque sur la Lune.

Mal, mal, parfaitement, je suis le génie du mal, voilà ce que je suis !

C’est à la portée du premier venu. Moi j’ai ruiné mes trois frères et mes deux sœurs après avoir mis mes parents sur la paille.

Tintin : Bandes de lâches, assassins, cette voix, Rastapopulos !
Rastapopoulos : Lui-même mon cher ami et ravi de vous accueillir sur cette île, vous m’avez cru mort noyé dans la Mer Rouge ah, ah, ah ! Désolé mais j’en ai assez de vous retrouver sur ma route, jeune freluquet, je vais vous écraser définitivement comme j’écrase cette flûte, misérable araignée, grr, enfin bref, vous n’en sortirez pas vivants. Qu’on remette tout en état, Allan !
Allan Thompson : OK Boss !

- Tintin, Haddock, vous êtes pris au piège, sortez tous de là avant que je me fâche, sinon, je vous balance une grenade. Très bien, vous l’aurez voulu, une, deux et trois oh quelle gaffe j’allais faire, le boss veut le docteur et Carreidas vivants. Et voilà !
- AH, OH, GRRR !
- Oh, le boss !

- Je suis désolé, boss !
- Triple buse et nos prisonniers, où sont-ils !
- La là, dans ce trou-là !
- Dans ce trou-là-là mais qu’est-ce que tu attends pour les en déloger ?
- Vous avez entendu le boss qu’est-ce que vous attendez pour descendre là-dedans ?

Il y’a quelqu’un pris au piège deux.

- Allo, ici le Docteur Müller à l’appareil ! Je vais vous amener un jeune garçon, un sujet très dangereux. Oui, comme d’habitude, il est très lucide mais… Bien, il faudra lui faire le traitement spécial. Voilà !
- Et voilà !

Quel gâchis ! Quand je pense qu’il nous a fallu des mois de travail ce réseau de fausse monnaie et que nous n’en verrons pas la couleur ça me rend malade et tout ça à cause de ce maudit reporter et de son sale chien.

Mon pauvre Ahmed, un petit miroir est parfois utile pour voir ce qui se passe derrière soi. Quoi ? Tintin ici ? Je vais lui faire passer une fois pour toutes l’envie de se mêler de mes affaires. Ton heure est arrivé, adieu Tintin !