Top - Citations de films et séries des années 1990

- Ouuh, bec de banane est terrifié !
- MONSIEUR bec de banane, peluche !

Si c’est ce qu’il faut faire pour avoir chaud, compte pas sur moi pour le faire.

- On peut se tutoyer ? Hein c’est plus sympa.
- Ouais.
- T’es lourd.

- Tu sais ce qu’on dit à propos des messieurs à grands pieds ?
- Ah non, qu’est-ce qu’on dit ?
- Grands pieds, grandes… chaussures.

Vers l’infini et au-delà !

Heu… Encore une fois, comment êtes-vous sûr que ce ne sont que des femelles ? L’un de vous se promène dans le parc et soulève les jupes des dinosaures ?

Vous ne croirez pas si je vous le disais, mais je cours comme souffle le vent. À partir de ce jour, dès que j’allais quelque part, je le faisais en courant.

Je veux que tu saches, au lieu d’en avoir peur, que tu saches que tu mourras un jour.

- Arrête de me coller, rastaquouère !
- Haha, c’est rigolo, ça, rastaquouère.
- Qu’est-ce que t’as à te marrer ?
- Moi ? Rien.

- Mimisiku c’est pas un nom ça !
- Et Roch Voisine tu crois que c’est un nom ?!

Ouais, ouais, je sais, t’es désolé, j’suis désolé, tout l’monde est désolé !

Quand j’observe ce monde, auquel tu veux absolument appartenir, tout ce que je voie c’est 6 milliards de dingues qui cherchent un raccourci vers la sortie. Il sont tous cinglés… Regarde les… Tout le monde boit, fume, se drogue… Ils se tirent les uns sur les autre ou bien ils se font tout bonnement sauter la cervelle pour ne plus voir ça. Et c’est moi la cinglé… Chérie, je suis la seule borgne dans ce royaume d’aveugle. Parce que moi j’admets que ce monde me rends dingue.

- Je sais qui tu es, Spike !
- Merci, je sais qui je suis aussi…

Je déteste les guerriers. Ils ont l’esprit étroit et n’ont aucune finesse. Pire, ils se battent pour des causes perdues, pour l’honneur. L’honneur a fait des millions de morts mais n’a jamais sauvé qui que ce soit !

Jour, nuit, jour, nuit…

- Mais pourquoi tu me fuis tout le temps ?!
- Tu veux vraiment le savoir ?
- Oui je veux vraiment le savoir !
- C’est parce que je ne réponds plus de moi quand je suis avec toi.

- T’étais où là schizo-boy ?
- J’avais envie de détruire quelque chose de beau…

C’est comme ça qu’on voit si on se plaît avec une personne, quand on peut se taire tout à fait, au moins une minute et profiter du silence.

Dans le temps, on lisait les revues porno. Maintenant, c’était les catalogues de mobilier.

Mais qui as parlé de te trancher la gorge ? Je veux juste te dessiner un petit « Z » sur le front…