Top - Citations de films de l'année 1996

Je vous l’avais dit qu’il valait mieux pour vous que je ne revienne pas !

Aussi bas que l’on puisse sombrer il y a toujours le bien et le mal et on finit par choisir. On empreinte un chemin en essayant d’être en accord avec soi-même ou un autre, on tourne en rond, on et meurt et on ne le sait pas.

Bonjour. Dans moins d’une heure, nos avions vont en rallier d’autres venus du monde entier. Vous allez livrer le plus grand combat aérien de l’histoire de l’humanité. L’humanité. Un mot qui devrait prendre un sens nouveau pour nous aujourd’hui. Ne passons plus notre temps à ne penser qu’à nos petites querelles sans importance. Nous allons être unis dans notre intérêt commun. Peut-être le sort a-t-il voulu qu’aujourd’hui soit le quatre juillet. Vous allez une fois de plus devoir défendre notre liberté. Non pas de la tyrannie, de l’oppression, de la persécution… mais de l’anéantissement. Nous combattons pour notre droit de vivre, d’exister. Et si nous remportons la victoire, le quatre juillet ne sera plus connu comme la fête nationale américaine, mais comme le jour où le monde a déclaré d’une seule voix : « Nous n’entrerons pas dans la nuit sans combattre ! Nous ne voulons pas disparaître sans nous battre ! » Nous allons vivre, nous allons survivre… Aujourd’hui, nous célébrons le jour de notre indépendance !

Vous trouvez que les singes, les moustiques et les lions sont redoutables ? Ce n’est que le début. J’ai vu des choses que tu n’as vu que dans tes cauchemars, des choses que tu ne peux même pas imaginer, des choses que tu ne peux même pas voir : il y a des choses qui rodent autour de toi, la nuit… Soudain tu entends un hurlement… Puis tu les entends manger. Et là, tu pries Dieu de ne pas être le dessert. La peur…? Mais tu ne sais même pas ce que c’est que la peur.

Il me faut partir et vivre ou rester et mourir.

Je préfère mourir de leur haine que de ne pas être aimé de toi.

N’allez pas croire qu’il s’agit du tonnerre. Rester là vous coûterait très cher.

Vous enviez l’esprit mordant de monsieur de Voltaire, le grand homme aurait pleuré, lui, car il était d’une ridicule sensibilité au malheur humain.

J’ai jamais eu les trompes imperméables !

- Ils vont me mettre une… une… merde comment ça s’appelle ça déjà ?
- … Une étoile patron.

Elle a d’la chance Betty, il est gentil Denis.

Nous ne sommes pas des soldats. En capturant des otages, nous sommes devenus des mercenaires. Et les mercenaires on les paye ! Je veux mon putain de fric !

Where is mum? She is in the bathroom. Where is dad? He is not at home. Why? I don’t know.

- Un tremblement de terre !
- Même pas force 4, rendors-toi.

Vous êtes ses colocataires ?

- Nan mais franchement… Qu’est ce qu’on s’en branle qu’il ait aimé ou pas Philippe ? … Un enculé pareil.
- Mais… mais Betty, comment peux-tu être aussi vulgaire ?

Oh non, tu vas pas cracher ta merde verte sur moi !

- PUTAIN DE MERDE ! IL M’A MORDU !
- Tu ne vas quand-même pas en faire tout un fromage !

Ceux deux-là ont tué plus de gens que le cancer.

- Timeo danaos et dona ferentes.
- Je redoute les grecs même quand ils apportent des cadeaux.
- Oh ! Quelqu’un de cultivé.