Top - Citations de films de l'année 2002

Keep your friends close, keep your enemies closer.

- Pas de panique, concentre toi !
- Oui, mais Padmé ?!
- Elle a l’air au sommet de sa forme…

Érimététéké !

- Vous êtes un monstre d’égoïste !
- Je vis seul, sans personne. Y a que moi alors ça ne peut pas être moi d’abord puisqu’il n’y a personne d’autre.

Coach dit que c’est normal de pisser le sang par les oreilles.

Quand j’te regarde j’ai des nausées, j’ai mal au bide et j’ai envie de gerber. Je me lève le matin, je te regarde et ma journée est gâchée.

Si elle me plait cette cabine, bordel ! Cette cabine, c’est mon monde, et puis, c’est ma cabine et je vais jamais en sortir !

Si tu es sage, je t’a-chè-te-rai des crayons de cou-leurs.

- Qu’est-ce que tu cherches ?
- Pff, j’ai perdu ma lentille.

- J’aimerais avoir un orgasme masculin, juste une fois comme ça, pour voir.
- Moi j’aimerais bien avoir un orgasme féminin, juste une fois comme ça, pour voir.

Même dans la mort elle était proche de moi… Y’avait quoi… 2 mètres, 2 mètres 50…

- Si j’peux m’permettre…
- Non pas toi chérie.

Aucun parent ne devraient enterrer son enfant.

Les ténèbres m’entourèrent et je m’égarai hors de la pensée et du temps. Les étoiles tournaient au-dessus de moi et chaque jour était aussi long qu’une existence sur la Terre. Mais ce n’était pas la fin, je sentis la vie revenir en moi. Je fus renvoyé, jusqu’à ce que ma tâche soit accomplie.

Evidement, toi, le chômage, ça te concerne pas !

Ne nous mentons pas !

- Vous avez pas vu une Ferrari, là, juste là ?
- Vous savez, monsieur, des Ferrari, j’en vois tous les jours, de toutes les formes et de toutes les couleurs…

- Elle est très charmante, votre ex-femme.
- Les femmes des autres sont toujours charmantes.

Quand un employé licencié se met à tenir un discours patronal, c’est qu’il ne s’en sortira plus. On appelle ça le syndrome de Prométhée.

- Ça me rappelle le Vietnam…
- Le… le Vietnam ?
- Ouais, le Vietnam !
- J’étais trop jeune pour y aller mais… j’ai vu des images.
- Elles sont loin du compte les images, loin d’la peur, d’la puanteur, des cochons qui bouffent des corps calcinés au napalm, le gosses qui laissent des grenades dans tes bottes…
- Ouais et après, on vous a tout mis sur le dos…
- On m’a craché au visage à mon retour.
- Ouais et la société, elle te doit des excuses. Je viens d’avoir une vision de toi tu sais, un gamin revenu du front tu vois, une machine à tuer, au chômage et mal re-inséré, il y’a un vrai potentiel d’émotion pour ça et concernant les hommes, ils sont du cote des perdants…
- Hahaha, tu es MINABLE Stu… Enfin réfléchis 30 secondes, des corps calcine au napalm, FAUDRAIT QUE J’AI 50 ANS POUR L’AVOIR FAITE CETTE GUERRE !!