Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2006

- Pourquoi tu m’as choisi ?
- Pour ton courage.
- Mais je ne suis pas sans peur ?!
- Sans peur il n’y aurait pas de courage !

#141
8.92 (73 votes)

- Et vous comptez vous habiller comment ce soir ?
- J’pense que j’vais y aller à poil !

#142
8.91 (54 votes)

Tu n’es pas seulement un lâche, tu es un traitre, comme ta petite taille le laissait deviner.

#143 8.91 (211 votes)

À 200 à l’heure dans les rues de Paris où il ne fait pas bon trainer lorsque nous sommes au volant, nous mêlons l’alcool à la beuh, la beuh à la coke, la coke au extas. Des mecs baisent des putes sans capotes et jouissent ensuite dans les copines de leur petites sœurs qui se font, de toute manière, partouzer du soir au matin.

#144
8.9 (300 votes)

Dans la vie on nous donne rien… C’est à nous de prendre.

#145
8.89 (53 votes)

You know what? Fuck beauty contests, life is one fucking beauty contest after an other, in your school, college, work? Fuck that! And fuck the air force academy, if I want to fly I’ll find a way to fly. You do what you love and fuck the rest…

#146
8.89 (62 votes)

- Combien en avez vous aimé avant moi ?
- Aucune…
- Et après moi ?
- Aucune…

#147
8.89 (53 votes)

Flic ou criminel, face à un flingue, quelle est la différence ?

#148
8.88 (70 votes)

Ma main à couper qu’ça va encore tourner autour du trou d’balle, ct’histoire…

#149
8.87 (256 votes)

Je suis un produit de la « think pink generation », mon credo : « sois belle et consomme ».

#150
8.87 (176 votes)

- Tes rivaux d’Athènes s’agenouilleront devant toi, si tu t’agenouilles devant moi !
- Tu es aussi généreux, que tu es… divin ! Ô roi des rois ! Ton offre, seul un simple d’esprit la refuserait. Mais… l’idée même de m’agenouiller me… vois-tu, j’ai tué tellement d’hommes de ton armée que j’en ai gardé une méchante crampe à la jambe ! Aussi, m’agenouiller serait un vrai supplice…

#151
8.87 (123 votes)

- Dans les chambres, y a des lits gigogne ?
- Des gigognes ? Euh oui, bien sûr madame, oui, c’est la faune locale du Périgord ça ! Y a aussi des tourterelles, des albatros, et des chouettes hulottes. Et on a même aperçu un tapir une fois.

#152
8.87 (43 votes)

Ma grand-mère m’a toujours dit: « Quand deux tentes se touchent pas, ça fait une allée ».

#153
8.86 (166 votes)

OSS 117 : Un philosophe a dit un jour « le mystère des Pyramides, c’est le mystère de la conscience dans laquelle on n’entre pas ».
Setine : Les pharaons se faisaient enterrer avec leurs serviteurs.
Moëller : Lorsque l’on meurt, souvent on voudrait que tout s’arrête avec soi.
OSS 117 : Mais, c’est le cycle même de la vie : lorsque quelqu’un ou quelque chose meurt, quelqu’un ou quelque chose naît ailleurs.
Setine : Nous tentons d’oublier que nous sommes des animaux, mais la nature nous le rappelle. Parfois cruellement.
Moëller : Des scientifiques font des expériences sur les mouches drosophiles parce que la structure de leur cerveau est extrêmement proche de la nôtre.
Setine : Le cheval nous voit plus grand que nous sommes avec son œil déformant. Ce n’est que grâce à cela que nous l’avons domestiqué.
Moëller : C’est notre œil, notre regard, qui nous dicte notre façon d’agir par rapport aux autres. Mais on peut être myope.
OSS 117 : L’aveugle ne voit pas, il ressent. Et, paradoxalement, il voit.
Moëller : Si le chat a la queue verticale, c’est qu’il est en confiance.
Setine : Le cul-de-jatte a une jambe qui le démange encore.
OSS 117 : Quand une femme change d’homme, elle change de coiffure.
Moëller : Il faut laisser pleurer un nourrisson quand il va au lit, sinon on sacralise trop son coucher.
Raymond Pelletier : Hum… On va boire un verre ou prendre un pot au bar… Hum ? Un p’tit godet là… On retourne au bar ? Tu veux un verre ?

#154 8.86 (359 votes)

L’histoire dira que notre amour a détruit le royaume…

#155
8.86 (60 votes)

- Et madame Juseppe ? Toujours…
- Morte.
- Ah ! Très bien ! Et les enfants ?
- Ils sont morts aussi !
- Formidable !

#156 8.85 (86 votes)

On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l’amour, on croit le trouver, puis on retombe. De haut. On tente de jouer avec la vie pour se faire croire qu’on la maîtrise. On roule trop vite, on frôle l’accident, on prend trop de coke, on frôle l’overdose. Ça fait peur aux parents, des gènes de banquiers, de PDG, d’hommes d’affaires, qui dégénèrent à ce point là, c’est quand même incroyable. Il y en a qui essaient de faire quelque chose, d’autres qui déclarent forfait. Il y en a qui ne sont jamais là, qui ne disent jamais rien, mais qui signent le chèque à la fin du moi. Et on les déteste, parce qu’ils donnent tant et si peu. Tant pour qu’on puisse se foutre en l’air, et si peu de ce qui compte vraiment. Et on finit par ne plus savoir ce qui compte, justement. Les limites s’estompent. On est comme un électron libre. On a une carte de crédit à la place du cerveau, un aspirateur à la place du nez, et rien à la place du cœur, on va en boîte plus qu’on ne va en cours, on a plus de maisons qu’on a de vrais amis, et deux cents numéros dans notre répertoire qu’on n’appelle jamais. On est la jeunesse dorée. Et on n’a pas le droit de s’en plaindre, parce qu’il paraît qu’on a tout pour être heureux. Et on crève, dans nos appartements trop grands, des moulures à la place du ciel, repus, bourrés de coke et d’antidépresseurs, et le sourire aux lèvres.

#157
8.85 (51 votes)

You may conquer with the sword, but you are conquered by a kiss.

#158 8.84 (76 votes)

- Hé Vincent, t’es au courant ? On va prendre un studio sur Anvers à la rentrée avec Léa. Tu viendras dîner s’tu veux !
- Euh… Ouais.

#159
8.84 (119 votes)

- Allez grand-père il faut partir !
- Jamais je partirai j’suis né dans c’trou, et j’mourrai dans c’trou !

#160 8.84 (128 votes)

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