Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2007

Pourquoi vous allez pas en Chine ? En matière de bébés gratos, ils en distribuent comme des ipods !

#61
9.24 (175 votes)

- Qui suis-je ?
- …
- Je suis le Capitaine Jack Sparrow !

#62 9.24 (372 votes)

Cher Gerry, t’as dit qu’un jour tu voudrais que je retombe amoureuse d’un autre homme et peut-être que ça va finir par m’arriver. Mais il y’a toute sorte d’amour ici bas. On a qu’une seule vie à vivre, c’est à la fois extraordinaire, terrible, court, et infiniment long. Et aucun de nous ne s’en sort vivant. Je n’ai aucun plan de match, à part celui de faire rire ma mère à nouveau. Elle n’a jamais voyagé, elle n’a jamais vu l’Irlande, alors, j’ai décidé de l’amener à notre point de départ. Elle comprendra peut-être maintenant. Je ne sais pas comment tu y est arrivé, mais tu m’as ramené d’entre les morts. Je vais te réécrire très bientôt. PS : devine quoi.

#63
9.24 (319 votes)

I read somewhere how important it is in life not necessarily to be strong but to feel strong.

#64
9.24 (345 votes)

J’ai rencontré Gerry, cet homme formidable a croisé mon chemin et il est mort. Pourquoi ? Je pourrais tuer quelqu’un tellement j’ai la haine.

#65
9.24 (240 votes)

Garons nous chers amis, d’oublier nos chers amis les calamars. Sublime petite saucisse volante. Mettez les ensemble, ils se dévoreront aussitôt les uns les autres. C’est la nature humaine… ou poissonnière.

#66 9.24 (162 votes)

Éloigne-toi de mon filleul !

#67 9.24 (69 votes)

Je suis celui qui pénètre votre cerveau. Je jouis dans votre hémisphère droit. Votre désir ne vous appartient plus : je vous impose le mien. C’est moi qui décide aujourd’hui ce que vous allez vouloir demain. L’idéal, serait que vous commenciez par me détester avant de détester l’époque qui m’a créé. Mais je ne vais pas travestir la vérité : je ne suis pas un gentil garçon, je suis une grosse merde. Un héros moderne, quoi.

#68
9.23 (300 votes)

- Monsieur, j’ai peur que le pouvoir vous ait rendu fou !
- Bien sûr que oui ! Essayez de devenir fou sans pouvoir c’est chiant : personne ne vous écoute.

#69
9.23 (172 votes)

Happiness only real when shared.


Euh, une seconde je vous prie, j’appelle de mon Hamburger Phone !

#71
9.23 (120 votes)

À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-choses, et pourtant, nous jouissons d ’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel. Il est pourtant des circonstances où le critique prend un vrai risque : c’est lorsqu’il découvre et défend l’innovation. Le monde est souvent malveillant à l’encontre des nouveaux talents et de la création. Le nouveau a besoin d’amis. Hier soir, j’ai vécu une expérience inédite. J’ai dégusté un plat extraordinaire d’une origine singulière s’il en est. Avancer que son plat et son créateur ont radicalement changés l’idée que je faisait de la grande cuisine serait peu dire. Ils m’ont bouleversé au plus profond de mon être. Je n’ai jamais fais mystère du mépris que m’inspirait la devise d’Auguste Gusteau : « Tout le monde peut cuisiner ».
Mais ce n’est qu’aujourd’hui, aujourd’hui seulement que je comprends vraiment ce qu’il voulait dire. Tout le monde ne peut pas devenir un grand artiste. Mais un grand artiste peut surgir n’importe où. Il est difficile d’imaginer origine plus modeste que celle du génie qui officie maintenant chez Gusteau et qui est à nos yeux rien moins que le plus grand cuisinier de France. Je retournerai bientôt chez Gusteau, plus affamé que jamais.

#72
9.23 (173 votes)

Tu peux avoir le boulot qui te plaît, gagner très bien ta vie mais quand t’es seule ça n’a aucune importance.

#73
9.23 (249 votes)

- T’es gentille !
- Ah, la dernière fois qu’on me l’a dit c’était : « T’es gentille mais je ne sors pas avec les filles de 13 ans. »

#74
9.22 (311 votes)

- Tu penses toujours à fuir Jack ?! Tu crois que tu peux courir plus vite que le monde ? Tu sais y’a un problème, une fois qu’on est le dernier de quelque chose, petit à petit y’a plus rien ni personne.
- Mais parfois les choses peuvent revenir, on en est la preuve vivante toi et moi.
- Oui, mais ça c’est un pari risqué Jackie, il n’y a jamais de garantie qui dit qu’on va revenir un jour. Mais mourir, ça c’est une certitude.

#75 9.22 (170 votes)

- Je monte à bord du hollandais volant pour trouver le cœur, j’embroche le palpitant, ton père est libéré de sa dette, tu es libre d’épouser ta charmante meurtrière
- Et tu es prêt à t’arracher le cœur et à devenir esclave du hollandais volant à jamais ?
- Non mon gars, je serai libre à jamais. Libre de voguer où bon me semble et libéré de la mort elle-même.
- Il te faudra accomplir ton devoir, et transporter l’âme des morts vers l’autre monde ; ou finir comme Davy Jones.
- Hmm, je crois que je ne suis pas fais pour les tentacules, mais l’immortalité me conviendrai.

#76 9.22 (233 votes)

Garde-le ton petit sourire de merde, j’en veux pas. C’est tout ce que tu sais donner, toi… Des petits sourires pour embrouiller les gens… Garde-le va, garde-le. Tu finiras toute seule dans ton donjon avec tes crayons de couleur et ce sera bien fait pour ta gueule. Moi, je sens que je fatigue, là… Le ver de terre amoureux d’une étoile, ça va un moment…

#77
9.22 (144 votes)

William j’aimerais savoir : es-tu venu parce que tu voulais mon aide pour sauver une dangereuse demoiselle ? Ou plutôt une demoiselle en danger ? Comme tu veux.

#78 9.22 (222 votes)

- On est piégés comme des rats ?!
- Non, les rats de se font pas piéger aussi facilement. Vous êtes piégés comme… des carottes.

#79
9.21 (180 votes)

Oublie pas, si chacun de nous est seul, nous sommes unis dans notre solitude…

#80
9.21 (179 votes)

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