Top - Citations de films de l'année 2011

[Il écoute un morceau de Chopin] Ah mais je connais cette musique ! C’est quand tu es en attente quand tu appelles les Assedic « Durée d’attente de 2 ans ».

- C’est pas mal ça : « Les époux dînent. Les amants déjeunent. » C’est joli, hein ?
- Ouais… Les dragueurs rament !

How about this why don’t you shut your mouth or I’ll kick your teeth down your throat and shut it for you.

- C’est interdit la polygamie monsieur.
- Mais moi je suis pas polygame.
- Vous avez combien de femmes ?
- Deux.
- Donc vous êtes polygame.
- Non je suis bigame.

- Pourquoi ça nous arrive à nous ?
- Parce qu’on est capable de supporter ça !

Son but n’était pas de voler du temps, mais d’en distribuer.

Il y a des choses que je voulais lui dire mais je savais qu’elles lui feraient mal. Alors je les enfouis, les laissant me faire du mal à moi.

- Je dois partir à Asgard, mais je vous donne ma parole… je reviendrai, pour vous. [Il lui fait un baisé sur la main] Ok ?
- [Elle l’embrasse] Ok…

Il est très rare de rencontrer une personne à qui l’on peut dévoiler son âme, et qui vous acceptera tel que vous êtes. J’attends depuis ce qui me parait des siècles la chance d’aller au-delà de moi-même. Jamais le temps à ses côtés ne me paraîtra assez long, commençons par l’éternité.

Bonjour, vous utilisez une technologie d’armement non répertorié ! Veuillez-vous identifier…

- At least I have relationships. You can’t even hang out with a woman for 24 hours without sleeping with her.
- That was true until I met you.

Tu es un idiot Harry Potter, et tu vas mourir… Avada kedavra !!

Si vous avez quelque chose à dire agent Carter, c’est le moment de vous taire.

Ce n’est pas donner qui est difficile, c’est recevoir.

Je te préviens tout de suite, moi je ne changerai pas toutes les couches. Je ne sais pas faire un biberon et, surtout, j’ai pas envie d’apprendre à faire ça tout seul. Alors je veux bien que tu dormes mais pas trop longtemps parce que, il faut qu’on change d’appart, faut qu’on trouve un prénom, faut qu’on passe des nuits blanches à se prendre la tête pour savoir ce qu’il va devenir. Repose-toi mon amour… Mais réveille-toi parce que je ne peux plus me passer de toi…

Je sais qu’elle ouvre les yeux parfois. Elle ne se réveillera pas. Je le sais. Tu le sais, elle le sait, tout le monde le sait. Arrête de jouer la comédie, moi j’en peux plus. D’avoir des faux-espoirs, ça me fait mal ! Tu comprends ? Elle ne se réveillera pas !

Récemment, on a fait un film sur mon sujet. Je crois que certains d’entre vous l’ont vu. J’ai quelques petites choses à préciser. J’ai eu tord, à propos de ce que j’ai dit sur les chiens et les chats. La popularité, ce n’est pas forcément que les gens vous connaissent et sachent ce que vous portez. Ou bien être reine du printemps. Être populaire, c’est avoir de vrais amis qui vous aiment pour ce que vous êtes vraiment. Pas des hypocrites qui vont vous laisser tomber parce qu’on leur a fait une meilleure proposition. Ou qui vont vous abandonner parce que vous êtes célibataire et que vous n’avez plus de cavalier pour le bal. Être populaire, c’est avoir de vrais amis, sur qui on peut compter. Même si on s’est perdu de vue depuis des années et que maintenant ils ont des mèches roses. Des amis qui ne s’intéresse peut-être pas aux mêmes choses que nous, mais qui seront toujours présents pour partager une glace « Mets y tout ce que tu trouves ». Au fond, peu importe d’être populaire. Ou d’être un geek. Ce qui importe, c’est d’être avec des gens avec qui ont se sent bien. Comme c’est mon cas avec Josh Rosen.

Je voulais qu’il ait de bons souvenirs, de sorte qu’il revienne peut-être un jour. Ou au moins que je lui manque.

Mouillé… comme d’habitude.

La dernière fois que j’ai touché une arme, c’était pour la guerre de 67 !