Top - Citations de films de l'année 2012

- Vous avez eu des relations sexuelles avec une collègue sur les denrées alimentaires que nous proposons à nos aimables clients ?
- Je l’ai trombinée avec un navet, la semaine dernière. Et ensuite, j’ai vendu le navet à une famille avec quatre enfants en bas age.
- Pour ça, faut en avoir ! Il nous faut des gens qui en ont ! Je vous fait monter en grade.
- T’as un gros problème psy, toi !

Lorsqu’un homme boit autant c’est qu’il veut soit embrasser une fille, soit tuer un homme. Et toi, c’est quoi ? [Il le bouscule et un revolver tombe de sa poche]

- Tu enlève la neige ?
- Il faut que dégage cette allée de garage et ensuite je te féliciterai d’être heureuse, parce que tu l’mérites.
- Tu l’as déjà fait il y a une heure.
- Ah ouais, c’était ce soir ? Tu vois cet arbre ? Cet arbre il m’a dit qu’il était un dragon et en fait il m’a pris pour un con, parce que c’est bien un arbre.

Ce n’est pas grave d’échouer si tu continues d’essayer.

Think on your sins.

Parfois, on se réfugie derrière ses pensées pour ne pas avoir à s’impliquer.

Est-ce que je peux entrer cinq minutes dans votre chatte ?

Hortense avec nous ! Hortense avec nous ! Hortense avec nous ! Hortense avec nous !

- Il se trouve que nous avons un problème.
- Un problème positif ou négatif ?
- Vous en avez souvent, des problèmes positifs ?
- Non.

Personne ne pense jamais au Noël des lutins !

- Allez, viens dehors.
- Paie ta note d’abord.
- Je paierai plus tard.
- T’en seras plus capable.
- Tu penses ?
- Tout le temps. Tu devrais essayer.

- C’est ta dernière chance de laisser tomber.
- Tu déconnes ? On est à cinq contre un.
- C’est trois contre un.
- Comment tu comptes ?
- Une fois que j’ai éliminé le chef, c’est-à-dire toi, je devrai me faire un ou deux de tes copains gonflés à bloc. Les deux derniers, ils se tirent toujours.

I hate now I was so afraid of being miserably in love with you because now I know that its hurts so much more to be miserably in love without you.

Vos os seront brisés, vos cous tordus. Vous serez frappés, battus et pour finir pendus. Tous ici vous mourrez et disparaîtrez, dans les souterrains de la ville des gobelins.

Allez, Seirin ! On se bouge et on se bat jusqu’à la fin ! Battons-nous, Seirin !

Accordons nous sur un désaccord.

De la loyauté, de l’honneur, un cœur vaillant, c’est tout ce que je demande !

Aimes-tu toujours le Basket ?

Peu importe le club que je choisirai c’est moi le meilleur.

La vie est une aventure étrange. On essaye de lui donner un sens mais finalement, c’est rien que des journées qui défilent.