Top - Citations de films de l'année 1986

Les signes du déclin de l’Empire sont partout : la population qui méprise ses propres institutions, la baisse du taux de natalité, le refus des hommes de servir dans l’armée, la dette nationale devenue incontrôlable, la diminution constante des heures de travail, l’envahissement des fonctionnaires, la dégénérescence des élites. Avec l’écroulement du rêve marxiste-léniniste, on ne peut plus citer aucun modèle de société dont on pourrait dire : voilà comment nous aimerions vivre.

- Mais je ne vous ai pas laissé tomber, je vous ai fait soigner.
- Tu m’as fait soigner ? C’est toi qui m’as tiré dessus, abruti !

Chevalier, tu disais que tu croyais en un monde où les frères qui avaient eu le malheur de naître sous une mauvaise étoile pourraient vivre ensembles et être heureux et que tu te battais pour le construire, aujourd’hui sache que je vais partager ton rêve.

Ikki : Qui es-tu ? Comment-toi, Seiya ?
Shun : Seiya ?
Seiya : Oui, c’est moi et je suis plus solide que tu ne le pensais. Et si je dois quitter cette Terre, ce ne sera pas avant d’avoir éliminé ton frère. Pardonne-moi, Andromède !

En Amérique il n’y a pas de chats !

Seul un homme dont le cœur est pur peut manier la dague et seul un homme qui a le cul etroit peut descendre cet escalier. Et comme j’ai les fesses adéquates j’ai le droit de la manier !

Je t’aime Manon, je t’aime d’amour !

L’enfer, c’est la suppression de la raison.

Moi je sais ce que je veux. Tu sais c’est quoi mon but ? Être un putain de bourgeois. Gagner du blé à rien glander, je ne veux surtout pas retourner où j’étais, je ne veux plus cirer les pompes d’un enculé pour avoir de quoi vivre.

Papet, je m’en vais parce que j’en peux plus. C’est pas pour les œillets tant pis s’ils crèvent, c’est à cause de mon Amour. J’ai compris qu’elle ne me voudra jamais, je m’en doutais parce que mon ruban d’amour m’a fait un abcès qui me brûle. Et puis quand je lui ai dit devant tout le monde que je veux la marier, tout lui donner, elle m’a craché dessus en paroles, et en plus elle s’est réfugiée chez l’instituteur. Lui, quand il lui parle, elle l’écoute en regardant par terre. Elle, quand il a fini, elle se languit qu’il recommence. Et lui il n’est pas étonné, il trouve ça naturel. Celui-là, il sait pas son bonheur, mais moi, je sais mon malheur…
Je ne peux plus le supporter, j’ai envie de le tuer mais ça lui ferait peine, alors non, tant pis, je veux pas la priver.
Ne lui cherche pas des garouilles, ce n’est pas de ta faute, ce n’est pas de sa faute, c’est la fatalité.
Fais dire des messes pour moi parce que, là haut il faudra que je m’explique, à cause de la source.
Adésias mon Papet, ça me fait peine de te quitter, mais rester, je peux pas.

Tu pues du pull !

Le Père la colique te prévient qu’il est un père la colique fatigué, qu’il a des indigestions de barbelés, des renvois de napalm et qu’il peut vider un chargeur dans le cul d’une mouche à 200 mètres.

- It’s a sad and beautifull world.
- Yeah, it’s a sad and beautiful world, pal.

T’as le bonjour d’Alfred.

Moi, il me semble que, pour être heureux, il me faudrait quatre femmes. Exactement quatre, comme dans la prescription du Coran. Je suis parfaitement heureux avec Louise, mais je prendrais en plus un écrivain genre Susan Sontag, une sauteuse en hauteur de l’équipe olympique, et une super cochonne pour faire l’animation de groupe. Avec ça, je serais probablement fidèle !

Toi tu m’dis qu’t’as d’la vertu, moi j’te dis qu’t’as un beau cul !

- Tu vas pas m’buter, poulet. Jamais tu le feras. Le meurtre, c’est illégal. Tu n’peux faire qu’une chose, m’arrêter, si tu y arrives et seulement à cette condition. Même moi, j’ai des droits, n’est-ce pas ? Poulet. Arrêtes-moi et je serais traité de malade, te désaxé, n’est-ce pas ? Ceux qui jugent sont civilisés, t’es d’accord ? Poulet.
- Et pas moi. C’est ici que la loi s’arrête et que moi, j’interviens. Cinglé.

Milène, pour être franc j’aimerais tellement pouvoir mener la vie que tu aimerais me voir partager avec toi dans la joie et le bonheur, mais j’ai encore tellement de choses à faire pour que ce bonheur se réalise, je dois encore accomplir certaines choses qui œuvreront pour la sauvegarde de l’humanité et pour notre propre destin… Telle est ma vie Milène. Saori avait dit un jour : « le destin de chaque être humain est d’accorder sa vie avec l’étoile sous laquelle il est venu au monde ». Certains sont nés sous une bonne étoile d’autres sous une mauvaise étoile. Certains la cherchent encore en tout cas en ce qui me concerne je mène ma vie du mieux que je peux, sans me soucier de mon étoile. Je ne me soucie pas de savoir si je serai blessé un jour ou pire encore si je perdrai la vie. J’ai les meilleurs amis du monde, les enfants de cette école, qui comptent sur moi, et toi. Je dois être brave pour vous tous, je ne peux pas me soustraire à cette mission, et puis je dois aussi retrouver ma chère sœur ; je te promets de revenir un jour et de ne plus jamais repartir je reviendrai un jour, c’est promis, et ce jour là sera un grand jour car je reviendrai pour toi.

Écoute moi bien, tu dois imaginer que ton corps n’existe plus, que tes muscles et tes os sont aussi légers qu’une plume, que le poids de ton corps a disparu, deviens une plante qui résiste à toutes les intempéries, les pieds fermement enracinés dans la terre et les mains agrippées dans le ciel. Ne te laisse pas emporter par le vent, mais ne lui résiste pas. Quand il pleut, deviens une pierre sur laquelle les gouttes s’écrasent. Deviens un dragon face au torrent, remonte à contre courant. Deviens une montagne quand tu te trouves confronté au mal, apprends à rester immobile quoiqu’il arrive, même si ta vie est en danger, ta volonté doit être plus forte que ton instinct.

Milo ! Si tu crois nous décourager en prétendant que les rêves sont impossibles à réaliser, tu perds ton temps ! Il n’y a que les perdants qui peuvent être convaincus d’une chose pareille ! Pour nous il n’y a pas de rêve impossible : quand nous croyons à une chose, elle finit par se réaliser. Nous mettons tout en oeuvre, nous luttons de toutes nos forces, jusqu’à ce que le but soit atteint !